L’urgence de chanter et de danser vos vies, de célébrer, d’aimer
Chers amis,
Ressentez-vous l’urgence de chanter et de danser vos vies, de célébrer, d’aimer ? Comment y parvenir ? Tout ce qui nous arrive peut être pris d’une façon positive comme un marchepied, une provocation à grandir et à ouvrir nos cœurs. Cela ne signifie pas nier la difficulté de certaines émotions et de certains événements qui nous affectent, mais choisir notre attitude. Nous vous invitons à regarder ce qui vous challenge comme une poussée de quelque chose de nouveau qui veut naître. Dans vos vies, dans le monde !
Nos deux prochains séminaires vont dans ce sens.
Du vendredi 29 mars au lundi 1er avril : avec la danse de Kali, vous êtes invité à danser vos ombres, jugements, jalousies, peurs du nouveau, peurs de la mort, même vos ruminations. Vous découvrirez qu’en vous impliquant totalement dans cette danse, vous libérez des énergies fabuleuses et vous développez de nouvelles compréhensions sur ce qui auparavant vous troublait.
Du mercredi 8 mai au dimanche 12 mai : avec le Séminaire Intensif vers l’Éveil « Qui suis-je ? », vous plongez au plus profond de vous-même en prenant appui sur et en traversant les émotions et les pensées qui, jusque-là, faisaient obstacle.
Nous avons le plaisir de vous annoncer que nous serons intervenants au Festival de Tantra, le Tantra Joy Festival qui se tiendra du 28 au 30 juin 2024 près de Montpellier. Consultez le programme !
Bienvenue pour prendre connaissance de l’ensemble de notre programme. Pensez dès à présent aux séminaires de l’été.
Des textes pour le plaisir d’aller plus profond
Dominique à propos de Vipassana
Vipassana est le cœur de toutes les méditations.
Vipassana, c’est reconnaître que je suis depuis toujours et pour toujours immergé dans l’immense océan de la vie. C’est me laisser nourrir et bercer éternellement par la mère divine. C’est vivre dans un état constant de gratitude.
Le flux constant des pensées, des émotions et des sensations n’est pas quelque chose à observer pour le condamner, et s’en retirer. C’est l’essence même de la vie dans lequel nous pouvons plonger consciemment et célébrer instant par instant.
Ensemble plongeons dans le mystère océanique de l’existence et dansons autant que nous pouvons. Nous sommes les invités au festin des noces éternelles.
Cela vous semble trop beau? Peut-être l’avez-vous déjà ressenti à certains moments de grâce quand le mental se tait et que vous êtes juste à savourer un moment de plénitude au bord de la mer ou simplement lové dans les bras de votre amoureux.se.
Sentez-le, vibrez-le : la vague de la respiration monte en vous et s’épanouit, puis elle retombe et disparaît dans les profondeurs de l’océan. Devenez un avec la respiration. Soyez la respiration qui monte, s’épanouit, et redescendez et disparaissez dans les profondeurs insondables de votre être. ”
(Informations pour la retraite Vipassana de novembre…)
Dominique
Citation d’Osho
« Dansez ! Et quand vous dansez, abandonnez-vous totalement à la danse. Dansez si profondément que vous disparaissez dans la danse. Lorsque le danseur disparaît dans la danse, vous aurez quelque expérience de l’amour. Et, sur cette base, vous pouvez ériger le temple entier de l’amour.
Lorsque la danseuse disparaît dans sa danse, elle est divine. Quand le chanteur disparaît dans son chant, il est divin. Réjouissez-vous si intensément, si totalement, que vous disparaissez dans votre réjouissance : Il y a réjouissance mais il n’y a personne qui se réjouit. Quand un tel optimum est atteint, une transformation, une révolution s’opère. Vous n’êtes plus le vieux soi sombre et laid. Les bénédictions pleuvent sur vous. Pour la première fois, vous prenez conscience de votre grandeur, de la splendeur de votre être. Dites oui à la vie, dites un oui total à la vie. C’est absolument cela que signifie sannyas (mot indien pour désigner celui dont la quête intérieure est devenue l’essentiel de sa vie). Je ne vous donne pas de concepts, de dogmes, de crédos. Je vous indique seulement un certain style de vie qui dit oui à la vie, une philosophie de révérence envers la vie.
A moins que vous ne dansiez dans un tel abandon, dans un tel oubli de soi que vous disparaissiez dans la danse, que le danseur soit perdu et seule la danse demeure… Seulement alors… Et seulement alors deviendrez-vous capable de savoir ce qu’est la vie.
Dansez ! Quand la danse vous possède réellement, quand il y a réellement une danse, le danseur n’est plus, le danseur a disparu, il n’existe plus. La danse est si extraordinairement réelle que l’irréel doit disparaître devant elle. L’irréel ne peut faire face au réel. Le faux ne peut confronter le réel. Le mensonge ne peut faire face à la vérité. L’obscurité ne peut rencontrer la lumière – et le réel est quand vous faites partie du tout, que ce soit dans le rire, dans la danse, dans l’amour – n’importe quand vous faites partie du tout, le réel est. Séparé, vous êtes Maya. Un avec le tout, vous êtes Dieu.
Si vous pouvez danser, dansez jusqu’à l’abandon de telle façon que vous disparaissiez complètement dans la danse et qu’il n’y ait plus aucun danseur mais que seulement la danse demeure.
Dansez si totalement que seule la danse demeure et qu’il n’y ait plus de danseur. Et vous ne serez pas perdant car en ces moments de disparition de votre personnalité vous en viendrez à connaître votre spiritualité essentielle, votre éternité. Alors l’univers entier vous appartient.
Dansez ! Et quand vous dansez abandonnez vous totalement en elle. Dansez si profondément que vous disparaissiez dans la danse. Quand dans la danse le danseur disparaît, vous aurez quelque expérience de l’amour. Et sur cette fondation vous pouvez construire le temple complet de l’amour.
Vous êtes un homme sur cette terre, une femme sur cette Terre. Savourez ce don de Dieu ! Avec une profonde gratitude, chantez le chant, dansez la danse qui attend profondément à l’intérieur de votre être pour pouvoir s’exprimer. Soyez créatif ! Fleurissez ! »
Saint Exupéry, Le petit prince
« J’ai appris, dit le Petit Prince, que le Monde est le miroir de mon âme…
Quand elle est enjouée, le Monde lui semble gai. Quand elle est accablée, le Monde lui semble triste.
Le Monde, lui, n’est ni triste ni gai. Il est là, c’est tout.
Ce n’était pas le Monde qui me troublait, mais l’Idée que je m’en faisais…
J’ai appris à l’accepter sans le juger, totalement, inconditionnellement… »