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À la découverte du cœur de votre être

Vous voulez découvrir le cœur de votre être ! Le séminaire intensif “Qui suis-je ?” et la retraite Vipassana sont pour vous.

Ces deux propositions s’adressent à vous si vous voulez aller tout de suite à l’essentiel, à l’essence de votre être. L’un ou l’autre de ces processus va transformer radicalement la manière de vous vivre dans votre quotidien, et cela à tous les niveaux. Peut-être vaut-il mieux dire l’un et l’autre, tant ces processus sont complémentaires, le « Qui suis-je ? » rendant Vipassana possible, désirable et agréable et Vipassana renvoyant à la nécessité du « Qui suis-je ? » pour pouvoir approfondir la présence aussi bien à soi qu’à l’autre.

Il n’y a rien de plus beau et de plus puissant que le « Qui suis-je ? » comme moyen de retour à soi, comme apprentissage à la conscience de soi. C’est une approche, une découverte de la présence pour découvrir qui on est vraiment, en essence. C’est une préparation presque obligée pour vivre une retraite Vipassana vibrante et totale sans que l’assise ne se mue en mécanisme de suppression de la vie.

Le Séminaire Intensif vers l’Éveil “Qui suis-je ?” est aussi un processus de guérison pour notre capacité à être en lien avec l’autre à partir de la présence à soi. Cela répare la capacité à entrer en relation ne serait-ce que par l’invitation constante à se regarder dans les yeux. Cela est très utile dans les relations de couple : « Je ne parle à l’autre que de ce qui se passe en moi sans vouloir le convaincre de quoi que ce soit et je l’écoute sans interpréter et sans le vouloir différent. »

Ce stage atteint les couches les plus profondes de notre être. Il est très difficile de mettre à jour le contenu de notre inconscient sans faire l’effort de mettre des mots sur ce qui surgit moment par moment. Le « Qui suis-je ? » nous met en situation de prendre en compte tout ce qui émerge dans notre corps, nos émotions et nos pensées. Impossible d’y échapper, de tourner en rond bien longtemps ! C’est tout l’essentiel de la psychanalyse dans un raccourci d’une intensité sans pareil. De nombreux participants vont pouvoir compléter leur thérapie grâce à ce processus. Le « Qui suis-je ? » est un amplificateur et un accélérateur de ce processus d’émergence. Un cadeau royal à se faire ! Quand vous l’avez vécu à fond, il ne reste plus que l’envie d’être là à déguster d’être avec soi-même. C’est le moment de penser à une retraite de méditation Vipassana ou Zazen.

Nous sommes dans une civilisation où l’accent est tellement mis sur l’intellect et sur le faire ! Sentez-vous le besoin de calmer votre mental, de ne plus en être l’esclave, de le mettre à votre service ? Se servir du mental pour s’observer soi-même et partager ce que nous découvrons et comprenons va l’apaiser, le calmer. Quand il sert a quelque chose d’important, de vital, il ne rumine plus, il est satisfait de jouer son rôle naturel de mise en mot et de partage.

Après le « Qui suis-je ? », vient le moment de la pleine conscience au quotidien, en marchant, en faisant la cuisine, en savourant un carré de chocolat. A quel rythme vivons-nous ? A 100 à l’heure, courir sans fin jusqu’à l’épuisement total, le burn-out si redouté ? Nous avons besoin de nous poser.

Il y a deux besoins complémentaires, celui de la pleine conscience dans toutes nos actions – cela va calmer le jeu et nous rendre plus efficace – et celui de s’arrêter complètement sans rien faire, même pas lire ou regarder la télé. Rentrer en soi, se sentir, se poser, se reposer totalement corps et esprit !

« Qui suis-je ? » et Vipassana vont dans la même direction avec une énorme différence. Dans le « Qui suis-je ? », l’autre est activement présent et nous nous entraidons par le regard et la communication verbale. Dans Vipassana, l’autre s’efface. Il est pourtant bien là quand nous pratiquons en groupe ! Nous créons ensemble un champ énergétique de soutien et de bienveillance, mais il n’y a plus de partage physique ou verbal. En fait, il y a de moins en moins de mise en mots, même en soi. L’intention est de retourner à soi, tout le temps, et d’entrer progressivement dans un grand silence intérieur régénérateur.

Il est tellement bénéfique d’observer combien nous nous projetons dans les autres, ce que nous avons appris au cours de notre enfance. Dans le « Qui suis-je ? », vous avez la possibilité d’observer combien il peut encore y avoir d’énergie gaspillée dans la préoccupation de ce que l’autre, le partenaire de travail, l’animateur va penser de moi, et d’y remédier. Dans Vipassana, vous êtes face à vous-même sans commentaire.

Retraite Vipassana

Vipassana est l’intention de devenir conscient du flux constant des impressions, sensations, humeurs, pensées, émotions dont est fait notre vie. Et c’est exactement ce qui entraîne le plus de transformations positives. En particulier, c’est ce dont nos relations amoureuses ont besoin pour s’épanouir. La prise de conscience modifie profondément le devenir…

Habituellement, dans tous les moments de notre existence, nous sommes occupés par ce flux sans nous en rendre compte, sans avoir un second regard sur lui. En fait, nous y sommes identifiés. Notre conscience est absorbée et entraînée dans ce flux est nous en faisons notre réalité. Pis encore, nous croyons que c’est la réalité. Cela sous-tend et mine toute notre vie dont, en particulier, notre vie relationnelle et amoureuse.

Au cours de la méditation Vipassana, nous observons ce flux continu des pensées et des ressentis émotionnels qui sont intrinsèquement liés. Ces ressentis sont perçus comme des modifications corporelles sensorielles. Les observer, d’abord au cours de temps de méditation spécifiques, puis tout au long de la journée, va avoir plusieurs effets. Le premier, sans doute le plus important car il entraîne tous les autres, est de créer une distance, une désidentification, entre soi, l’observateur, et ce qui est observé.

L’observateur ne peut être l’observé. Il est la conscience de ce qui est observé. Les émotions, les pensées, les ressentis, les sensations, vont et viennent. Elles apparaissent et disparaissent. Je ne suis pas cela. Je le vois, je l’accepte, j’en fais l’expérience. Tout passe, tout change continuellement et je suis là, de plus en plus au centre de ce qui arrive, quoi que ce soit qui arrive. Et une des clés est, sans choix ni rejet, l’agréable comme le désagréable.

Un autre effet est que, quand vous êtes l’observateur au centre de ce qui arrive, peu à peu le carrousel des événements intérieurs, en particulier celui des pensées de rumination, tend à ralentir. Vous devenez plus paisible avec un relatif détachement. Vous y croyez moins, vous vous en désidentifiez.

Un temps pour se poser, se reposer,
Un temps pour se laisser bercer par sa propre respiration,
Un temps pour savourer cette respiration qui nous est insufflée par la vie elle-même,
Un temps pour se laisser bercer, aimer, vibrer par la grande Déesse,
Un temps pour écouter Dieu en train de nous créer à chaque instant.
Gratitude infinie de l’âme immortelle qui se reconnaît elle-même, qui reconnaît et connaît sa Source au cœur de la symphonie mystérieuse de tout ce qui existe !

Témoignage 

M-P, tu m’as confié que tu avais pris l’engagement avec toi-même de pratiquer régulièrement des méditations, une ou même deux fois par jour, depuis quelques mois déjà. Peux-tu nous dire ce que cela t’apporte, les bénéfices que tu en retires ?

De la clarté… Je vis avec plus de sérénité les moments angoissants. La vie m’en offre de nombreux actuellement. Mon employeur, mes relations… Ce qui est étrange, c’est que l’anxiété est toujours là, la peur aussi, et pourtant un autre état profondément serein qui permet de faire face. Un mini-détachement, voire une certaine confiance, une paix qui me permet d’agir. Comme un souffle qui m’accompagne pour passer au travers de ces espaces conflictuelles en moi-même. Ces espaces sont chez moi. Tout se passe dans ma tête.

Dans la méditation, je ressens une relaxation, une dilatation du thorax, du cœur, et ça devient un espace global. A chaque expir, je sens comme un muscle qui se relâche. Ça se passe aussi dans ma tête, mes maux de tête avec le petit vélo qui ne s’arrête jamais. L’expir, ça lâche.

Je commence avec l’écoute de la respiration ventrale qui me berce. Puis, ça monte au coeur. Le thorax devient habité par la respiration. L’expir s’allonge et un relâchement s’opère. Légèreté, tranquillité, et dans cet espace, il y a de la place pour sentir la douleur et la peur. Tout est là et pourtant la tranquillité demeure.

Après mes pratiques régulières, après chaque séance de méditation, le corps se rappelle à moi. Ce souffle permet d’agir. Une tranquillité coexiste avec la peur et l’angoisse qui sont comme limées. La surface est lisse, ça n’accroche plus. Je peux faire des choses, avancer, comme appeler mon RH. La clarté, des idées, des informations, une sorte d’intuition, des images viennent sans réfléchir, ça vient tout seul. Je redécouvre avec étonnement mes compétences et réalisations.

La méditation n’occulte rien et embrasse tout. Ma peur est reléguée au second plan. Cet espace va se reproduire dans le quotidien même à mon insu. C’est intégratif et ça n’accroche plus, ce n’est plus handicapant.

Je vis, je vis, je vis ! Et c’est parce que je fais ma méditation chaque jour. Les méditations du cœur, et celles qui sont centrées sur la respiration… Je peux rester là en présence sous un arbre comme cet aborigène. Je me rappelle de mon voyage en Australie. En plein désert, au milieu de nulle part, un aborigène, assis… À l’époque, je ne comprenais pas. Maintenant, si !

Une des plus grandes qualités d’un chercheur est la persévérance, la détermination dans la durée, la pratique au quotidien.
D.V.

En cas de besoin, n’hésitez pas à nous appeler. 

En cas de perte de repères, connectez-vous à nous et à tous ceux qui ont fait l’expérience de quelque chose de l’amour, avec nous ou avec d’autres. Bien heureusement, nous ne sommes pas les seuls à promouvoir et à nourrir ces espaces, et vous êtes appelés, vous aussi tels que vous êtes, à témoigner et à rayonner l’amour. C’est cela la Sangha, la communauté en marche vers la lumière. Aidons-nous mutuellement à trouver notre lumière et à la conserver quoi qu’il arrive.